Master Didier is always looking for new slaves. Contact him in French on smoverlimit @yahoo.fr or here in English. Blog maintained by slave Willem for Master Didier.
Je suis fier d'être allé chez Master Didier hier. Même si j'étais un peu stressé, je n'avais pas peur d'y aller, je ne comptais aucunement m'y dérober (j'ai par contre beaucoup eu peur pendant la rencontre). Je voulais - et je veux toujours - apprendre à obéir, c'est essentiel pour moi. Apprendre que je n'ai pas à me soucier de moi-même, que c'est le Maître que est Maître de mon corps, que seul lui compte, et que pour cela il "suffit" d'obéir.
Mon compte rendu n'est pas chronologique.
Il y a des règles de protocole, qu'ou bien on sent, ou qu'on apprend chez Maître Didier même, au cours de la rencontre. Quelques exemples: - en tant qu'esclave je dois en tout temps garder les jambes écartées. Il faut que Maître ait un accès facile et permanent, et en plus bien sûr, un esclave n'a aucunement à se soucier de quoi que ce soit de son corps. J'ai une ou deux fois failli à la règle, mais elle est simple et claire. - en quittant le Maître, le protocole impose que je lèche les chaussures de Maître, en signe d'infériorité et de soumission totale. - en tant qu'esclave, je peux moi-même enlever - sur ordre - mes menottes de chevilles et de poignets, mais JAMAIS mon collier. C'est le privilège du Maître. J'imagine que transgresser cette règle sera sévèrement puni.
Pour Maître, la soumission mentale est tout aussi importante que la soumission physique. C'est cette obéissance dont je parlais, mais mieux dit. Et il y arrive de trois façons.
Tout d'abord, en parlant, en arguant, en convaincant. C'est pour moi très important. Le préparation mentale à l'esclavage me demande un certain effort intellectuel, qui est important pour moi pour pouvoir me soumettre à ses ordres, ses désirs, et d'essayer de le faire naturellement. Lors de la soumission physique, j'ai besoin de ce focus mental que j'ai un peu de moi-même, mais que Maître m'inculque aussi.
Ensuite, Maître m'a abondamment giflé. C'est très utile, car cela me remet à ma place. Cela illustre que quand on se parle, on ne le fait pas d'égal à égal. Mâitre commande, décide et il a sur moi tous les droits. J'aime les gifles.
Finalement, l'obéissance et la soumission mentale se forment à coups d'ordres nets et au fouet. Quand rien d'autre n'y fait, quand j'essaie de me soustraire à une série de coups de fouets, parce ce que je pense que je ne tiendrai pas le coup, quand je panique, les ordres durs, clairs, répétés et nécessaires sont donnés pour me rappeler à l'ordre , et l'obéissance s'apprend ensuite à coups de fouets. D'ailleurs, non seulement à coups de fouets, il exige en plus que je lui demande du plus profond de mes tripes, de me fouetter et de continuer. Ce dernier aspect a d'ailleurs été le plus dur pour moi: devoir choisir le nombre de coups, et demander à Maître de continuer. Je crois que je dois encore fortement évoluer sur ce point: apprendre à supplier mon Maître de me fouetter.
Bien entendu, Maître Didier a ses idées de ce que je dois pouvoir subir physiquement en tant qu'esclave, de comment je dois évoluer physiquement en tant qu'esclave, il explore lui-même ces limites et décident quelles sont ces limites. Je n'étais pas venu pour un salon de thé, je savais que je souffrirais, et j'ai souffert, au-delà de tout je croyais être capable. Et même-là, sans déviant de son but, Maître a montré beaucoup d'humanité en me laissant pleurer et en me laissant me ressaisir. Je vous en suis très reconnaissant Maître.
Je ne vais pas entrer dans les détails de ce que j'ai souffert et de ce que j'ai subi physiquement - il faut en faire l'expérience pour le comprendre - sachez simplement que j'ai encaissé des dizaines de coups de bâton (je crois), des centaines de coups de fouets, que j'ai été abondamment giflé, que j'ai eu très mal aux tétons. A la fin, j'étais totalement exténué, perdu, et incapable d'endurer encore le moindre coup, et pourtant Maître m'a encore donné, avant que je ne le quitte, une série de plusieurs dizaines de coups. J'étais au-delà de mes limites, je n'en pouvais plus, mais Maître est parvenu à m'en extraire encore, à me tracer des dizaines de lignes rouges supplémentaires sur mon dos, coup après coup, les uns moins durs, les autres tranchants.
Ce qu'il m'avait promis, c'est d'ailleurs bel et bien produit: là où les 10-20 premiers de cette dernière série étaient un à un insupportables, et où j'ai pleuré beaucoup de larmes - pas les larmes de l'enfer, mais tous de même, des larmes - tout à coup une accalmie s'est produite. Je suis entré dans une phase où je parvenais à encaisser les coups, sans presque plus hurler ou crier. Je vous suis très très très reconnaissant, Maître, de cette dernière série de coups de fouets, que vous m'avez imposés presque manu militari, mais surtout comme un bon père de famille, qui veut sortir le meilleur de son esclave. Ce faisant, vous m'avez fait franchir un cap.
Pour terminer, j'aimerais simplement dire que j'ai adoré servir mon Maître pendant près de 2h30. Je suis sincèremet fier des compliments qu'il m'a faits tout au long de la séance. Je suis très fier de ressentir des heures et des heures après la séance, le feu dans mon dos. Et il a terminé en me convaincant que "tu as franchi un pas dans ta vie" et "tu as besoin de moi, tu reviendras..."
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Je suis fier d'être allé chez Master Didier hier. Même si j'étais un peu stressé, je n'avais pas peur d'y aller, je ne comptais aucunement m'y dérober (j'ai par contre beaucoup eu peur pendant la rencontre). Je voulais - et je veux toujours - apprendre à obéir, c'est essentiel pour moi. Apprendre que je n'ai pas à me soucier de moi-même, que c'est le Maître que est Maître de mon corps, que seul lui compte, et que pour cela il "suffit" d'obéir.
Mon compte rendu n'est pas chronologique.
Il y a des règles de protocole, qu'ou bien on sent, ou qu'on apprend chez Maître Didier même, au cours de la rencontre. Quelques exemples:
- en tant qu'esclave je dois en tout temps garder les jambes écartées. Il faut que Maître ait un accès facile et permanent, et en plus bien sûr, un esclave n'a aucunement à se soucier de quoi que ce soit de son corps. J'ai une ou deux fois failli à la règle, mais elle est simple et claire.
- en quittant le Maître, le protocole impose que je lèche les chaussures de Maître, en signe d'infériorité et de soumission totale.
- en tant qu'esclave, je peux moi-même enlever - sur ordre - mes menottes de chevilles et de poignets, mais JAMAIS mon collier. C'est le privilège du Maître. J'imagine que transgresser cette règle sera sévèrement puni.
Pour Maître, la soumission mentale est tout aussi importante que la soumission physique. C'est cette obéissance dont je parlais, mais mieux dit. Et il y arrive de trois façons.
Tout d'abord, en parlant, en arguant, en convaincant. C'est pour moi très important. Le préparation mentale à l'esclavage me demande un certain effort intellectuel, qui est important pour moi pour pouvoir me soumettre à ses ordres, ses désirs, et d'essayer de le faire naturellement. Lors de la soumission physique, j'ai besoin de ce focus mental que j'ai un peu de moi-même, mais que Maître m'inculque aussi.
Ensuite, Maître m'a abondamment giflé. C'est très utile, car cela me remet à ma place. Cela illustre que quand on se parle, on ne le fait pas d'égal à égal. Mâitre commande, décide et il a sur moi tous les droits. J'aime les gifles.
Finalement, l'obéissance et la soumission mentale se forment à coups d'ordres nets et au fouet. Quand rien d'autre n'y fait, quand j'essaie de me soustraire à une série de coups de fouets, parce ce que je pense que je ne tiendrai pas le coup, quand je panique, les ordres durs, clairs, répétés et nécessaires sont donnés pour me rappeler à l'ordre , et l'obéissance s'apprend ensuite à coups de fouets. D'ailleurs, non seulement à coups de fouets, il exige en plus que je lui demande du plus profond de mes tripes, de me fouetter et de continuer. Ce dernier aspect a d'ailleurs été le plus dur pour moi: devoir choisir le nombre de coups, et demander à Maître de continuer. Je crois que je dois encore fortement évoluer sur ce point: apprendre à supplier mon Maître de me fouetter.
Bien entendu, Maître Didier a ses idées de ce que je dois pouvoir subir physiquement en tant qu'esclave, de comment je dois évoluer physiquement en tant qu'esclave, il explore lui-même ces limites et décident quelles sont ces limites. Je n'étais pas venu pour un salon de thé, je savais que je souffrirais, et j'ai souffert, au-delà de tout je croyais être capable. Et même-là, sans déviant de son but, Maître a montré beaucoup d'humanité en me laissant pleurer et en me laissant me ressaisir. Je vous en suis très reconnaissant Maître.
Je ne vais pas entrer dans les détails de ce que j'ai souffert et de ce que j'ai subi physiquement - il faut en faire l'expérience pour le comprendre - sachez simplement que j'ai encaissé des dizaines de coups de bâton (je crois), des centaines de coups de fouets, que j'ai été abondamment giflé, que j'ai eu très mal aux tétons. A la fin, j'étais totalement exténué, perdu, et incapable d'endurer encore le moindre coup, et pourtant Maître m'a encore donné, avant que je ne le quitte, une série de plusieurs dizaines de coups. J'étais au-delà de mes limites, je n'en pouvais plus, mais Maître est parvenu à m'en extraire encore, à me tracer des dizaines de lignes rouges supplémentaires sur mon dos, coup après coup, les uns moins durs, les autres tranchants.
Ce qu'il m'avait promis, c'est d'ailleurs bel et bien produit: là où les 10-20 premiers de cette dernière série étaient un à un insupportables, et où j'ai pleuré beaucoup de larmes - pas les larmes de l'enfer, mais tous de même, des larmes - tout à coup une accalmie s'est produite. Je suis entré dans une phase où je parvenais à encaisser les coups, sans presque plus hurler ou crier.
Je vous suis très très très reconnaissant, Maître, de cette dernière série de coups de fouets, que vous m'avez imposés presque manu militari, mais surtout comme un bon père de famille, qui veut sortir le meilleur de son esclave. Ce faisant, vous m'avez fait franchir un cap.
Pour terminer, j'aimerais simplement dire que j'ai adoré servir mon Maître pendant près de 2h30. Je suis sincèremet fier des compliments qu'il m'a faits tout au long de la séance. Je suis très fier de ressentir des heures et des heures après la séance, le feu dans mon dos. Et il a terminé en me convaincant que "tu as franchi un pas dans ta vie" et "tu as besoin de moi, tu reviendras..."